Bon, voilà… J’aurais dû y penser plus
tôt, mais c’est le genre de chose qui arrive lorsqu’on n’a pas grand
chose dans le ciboulot ! A la suite de ce billet, vous pourrez -dans vos
commentaires- dire ce que vous avez pensé de « Mauvais Berger ! », après l’avoir lu, bien entendu. Vous verrez, ça se lit assez vite (c’est écrit gros, en plus!).
Comme il paraît que toutes les critiques
(constructives et argumentées), bonnes ou mauvaises, sont toujours
bonnes à prendre, vous pouvez en dire ce que vous avez à en dire… Je
publierai tout, sauf les commentaires à caractère diffamatoires, ou les
insultes (normal, quoi).
Par ailleurs, j’essayerai, autant que faire ce peut, de répondre à vos questions si vous en avez !
Alors à vos claviers !
Ils l’ont écrit sur XiberoLand :
Floriane Bosquier : Assez néophyte en la matière, je veux bien te donner en toute humilité ma perception de ce livre après l’avoir lu…
Je trouve que tu dépeins bien le côté pervers, manipulateur, pingre et machiavélique de la sorcière…
Tu fais prendre conscience d’un monde archaïque primaire qui semblait révolu mais hélas perdure en toute impunité…
Un serf devant vivre dans la dépendance de ses maitres…
Tu ne t’embarrasses pas de fioritures, et ton livre fait bien ressortir ta vraie personnalité…
Le réalisme de tes propos parfois licencieux, inconvenants, assez crus, peuvent se marier avec délice à la poésie de ces lieux, sans être injurieuse…
Excellente autobiographie, bien écrite, dans un verbiage haut en couleurs qui t’es propre, donne que plus d’intérêt à sa lecture et accrédite son authenticité…
Je trouve que tu dépeins bien le côté pervers, manipulateur, pingre et machiavélique de la sorcière…
Tu fais prendre conscience d’un monde archaïque primaire qui semblait révolu mais hélas perdure en toute impunité…
Un serf devant vivre dans la dépendance de ses maitres…
Tu ne t’embarrasses pas de fioritures, et ton livre fait bien ressortir ta vraie personnalité…
Le réalisme de tes propos parfois licencieux, inconvenants, assez crus, peuvent se marier avec délice à la poésie de ces lieux, sans être injurieuse…
Excellente autobiographie, bien écrite, dans un verbiage haut en couleurs qui t’es propre, donne que plus d’intérêt à sa lecture et accrédite son authenticité…
Mathieu Larregain : Voilà,
je savais pas trop où écrire ceci, alors j’ai décidé que ce serait ici.
Je viens d’entamer la lecture de “Mauvais Berger”, quand je dis
entamer, j’ai lu juste la préface de monsieur Caudine. Mais j’ai décidé
de faire une critique détaillée du livre, en le lisant chapitre par
chapitre puis, en racontant ici mon ressenti.
La préface donc. Tout d’abord, je n’ai nullement été étonné en voyant le nom de l’auteur. En effet, qui mieux que lui pourrait introduire le livre de son ami? Une très jolie préface, qui en dévoile juste assez du contenu et remplit à merveille son rôle de préface. Je connais déjà la version blog de cette histoire, donc les petites allusions réfèrent directement à des choses que j’ai déjà lues mais malgré cela, l’envie de lire est forte.
La préface donc. Tout d’abord, je n’ai nullement été étonné en voyant le nom de l’auteur. En effet, qui mieux que lui pourrait introduire le livre de son ami? Une très jolie préface, qui en dévoile juste assez du contenu et remplit à merveille son rôle de préface. Je connais déjà la version blog de cette histoire, donc les petites allusions réfèrent directement à des choses que j’ai déjà lues mais malgré cela, l’envie de lire est forte.
(le résumé biographique est pas tout
à fait juste… Tu n’es plus clp pour Sud Ouest, et d’après ce que tu me
disais, l’histoire n’est plus sur ton blog… enfin bon… et ma dédicace
est superbe, je pense que c’est la mieux que tu aies faite, je t’en
remercie grandement!!)
Alors j’ai pas pu résister. 5h du
matin, je viens de finir mon article sur un sujet tout à fait pas
intéressant, en allant me coucher, les yeux qui tombent, le pas
chancelant et la peau putride, tirant des “ûûûûûûûûh” du fond de ma
gorge, je me dis quand même qu’il faut que je lise au moins le prologue
de “Mauvais Berger”. Je me couche donc, attrape mon livre allume la
lumière qui me brûle les rétines et rajoute une bonne tonne à chacune de
mes paupières et entame ma lecture.
Le prologue, une bonne intro qui pose le décor sans en dévoiler trop. L’histoire est bien amenée et le contexte est claire.
Le prologue, une bonne intro qui pose le décor sans en dévoiler trop. L’histoire est bien amenée et le contexte est claire.
Chapitre 1 (oui, parce que je n’ai
pu m’arrêter de lire, une fois lancé… mais je me suis arrêté à la fin de
ce chapitre, la fatigue devenant insupportable) L’effet est très
réussi, je sais pas si c’est recherché, mais malgré tous les
inconvénients, on a presqu’envie de devenir berger nous aussi. Une telle
joie quand la vieille dégage, un tel bonheur, c’est presque trop beau.
Bien évidement il y a tout les inconvénients physiques, mais qu’est-ce
que c’est? Rien, ça passe avec le temps tout ça, j’ai l’impression que
c’est comme ça que tu voyais la chose, et tu arrives bien à le
retranscrire, on ressent bien la motivation, les descriptions sont juste
comme il faut, pas trop poussées pour pas être barbantes, mais
suffisament pour qu’on puisse voir le paysage… Très bonne première
partie, la deuxième et qui sait, la troisième, ce soir…
Voilà, je viens de finir de lire
“Mauvais berger”, j’ai pas pu attendre ce soir… Et ben… J’ai d’autant
plus vécu la colère de la fin que ça me rappelle quelques unes de celles
que j’ai pu piquer lors de soirée dans notre beau pays basque. Et
ailleurs… Je peux dire que tu décris super bien la rage, enfin, les
souvenirs que j’ai des miennes tiennent à merveilles dans ces mots.
C’est vraiment le passage qui m’a marqué, parce que c’est le passage
qu’on attend. Et je te félicite d’avoir réussi à ne pas lever la main
sur la vieille, les situations étaient totalement différentes et à
échelle bien moindre, mais quand j’arrive à cet état là, j’arrive jamais
à le retenir mon bras. C’est pas grave, je suis pas non Schwarzenegger
mais bon.
Ne parlons pas de oim, mais plutôt
de ce livre. Mais en même temps, je me vois mal faire une critique d’un
livre alors que je n’ai aucune espèce de sorte de talents ou de position
qui me permettent un jugement quelconque, mais il faut dire ce qui est,
ce livre, je l’ai dévoré. Et c’est avec fierté (ouais, je suis fier
d’être un pote de l’auteur, j’ai même chanté avec lui une chanson ^^)
que je le prêterai autour de moi pour inciter les gens à l’acheter.
(Bien que je trouve que pour le prix qu’il vaut, tu devrais avoir un
petit quelque chose, parce que 10€ ou 9€ avec souscription pour 90
pages, sans vouloir être mauvaise langue parce que le contenu est
énorme, mais c’est du vol)
J’espère qu’il y en aura d’autres en tous cas.
Une chronique signée Cyclotor! : “(…)
Mauvais Berger est un livre à lire d’une traite, évidement. Au
lendemain de sa lecture, il produit son effet : on en garde des odeurs,
un sourire, une boule dans la gorge, la sensation de l’immense, du beau
et du terrible. Quelques images trop fortes restent en effet imprimées
trop précisément sur nos rétines… Et c’est exactement cela, le souvenir…
D’un point de vue émotionnel, cette infâme bouse est donc une belle
réussite : Son auteur nous la fait si bien partager qu’on a l’impression
de l’avoir chiée nous-même ! (…)”
Malheureusement, l’intégralité de sa superbe chronique n'est pas visible, puisque l'ancien blog de Cyclotor a été détruit. Aujourd'hui, vous pouvez lire ses nouvelles frasques ici.
Malheureusement, l’intégralité de sa superbe chronique n'est pas visible, puisque l'ancien blog de Cyclotor a été détruit. Aujourd'hui, vous pouvez lire ses nouvelles frasques ici.
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